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How To Make Money From Head Bands

Vincent E. Norment Story

http://www.dbands.com/

Il n'ya rien comme un serre-tête trempée de sueur et de tomber dans vos yeux à vous descendez votre partie. Du moins, c'est ce que Vincent E. Norment pensait alors qu'il regardait un match de basket professionnel. Il a vu les acteurs qui luttent avec leurs bandeaux d'athlétisme et s'est demandé s'il y avait une meilleure façon.

Norment, 42 ans, croyait d'une sangle d'épaisseur dans la partie supérieure du bandeau, faite avec les matériaux super absorbants comme le reste, ne serait pas seulement plus d'absorber la sueur de l'athlète, mais aussi rester en place. Avec une formation en sport-produits connexes, il s'approcha de fabricants bandeau pour battre le rappel d'intérêt. "Ils ont regardé le produit et a déclaré qu'il ne fonctionnerait pas», dit-il. «Je ne laissez pas m'arrêter."

Une recherche brevets trouve rien de semblable sur le marché, de sorte Norment immédiatement breveter son idée pour DBands sous son surnom DApparel Inc. Il avait été autour du marché du sport assez longtemps pour savoir que la clé du succès avec un produit d'athlétisme le thème est de l'obtenir dans les mains (ou dans ce cas, sur la tête) des athlètes professionnels, de sorte Norment DBands promu au cours de la trois points de concours de tir au 2003 Mars séries éliminatoires de basket-ball collégial Madness. Après avoir demandé aux athlètes pour leurs opinions, il a persuadé un joueur de porter le bandeau sur ESPN. Merci à l'exposition, Norment débarqué appuis de la part des joueurs professionnels, Ron Artest des Pacers de l'Indiana et Brad Miller des Sacramento Kings, pour ne citer que quelques uns.

Avec le produit de 9,99 $ à 14,99 $ à venir dans les magasins d'articles de sport comme le pied d'athlète et Foot Locker, Norment espère vendre entre 50.000 et 100.000 DBands d'ici la fin de l'année. Son but ultime est de rendre la marque DApparel un nom connu et un tête à la fois.

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